Entre mes deux clochers
de Ludovic LE PAGE
Voici le prix vu par vos clients. Éditer la liste des prix
On peut trouver ce livre dans les librairies en ligne, comme Amazon.com, à l'aide des numéros ISBN ci-dessous :
Couverture souple ISBN :
9781714181162
À propos du livre
Ces dernières années, au cours de mes voyages en Bretagne, à la Toussaint, nous, les anciens enfants des quartiers de Châtelaudren, nous nous réunissions autour d’une table chaleureuse. Nous faisions durer un repas au cours duquel, je proposais à l’assistance de parler de nos rues au siècle dernier.
Durant ces quelques heures, je ne voyais personne des gens qui m’entouraient, mais seulement mes amis d’autrefois qui m’accueillaient avec leurs mains franches et leurs sourires.
A la fin de la causerie, les auditeurs intéressés me dirent :
- Pourquoi n’écrirais-tu pas ce que tu viens de nous raconter ?
Durant ces quelques heures, je ne voyais personne des gens qui m’entouraient, mais seulement mes amis d’autrefois qui m’accueillaient avec leurs mains franches et leurs sourires.
A la fin de la causerie, les auditeurs intéressés me dirent :
- Pourquoi n’écrirais-tu pas ce que tu viens de nous raconter ?
Caractéristiques et détails
- Catégorie principale: Biographies et mémoires
- Catégories supplémentaires Histoire de famille/Arbre généalogique
-
Format choisi: 13×20 cm
# de pages: 178 -
ISBN
- Couverture souple: 9781714181162
- Date de publication: déc 20, 2019
- Langue French
- Mots-clés Famille, Histoire, Généalogie, Biographie
Voir plus
À propos du créateur
Ludovic LE PAGE
Six-Fours-Les-Plages
Ces dernières années, au cours de mes voyages en Bretagne, à la Toussaint, nous, les anciens enfants des quartiers de Châtelaudren, nous nous réunissions autour d’une table chaleureuse. Nous faisions durer un repas au cours duquel, je proposais à l’assistance de parler de nos rues au siècle dernier. Durant ces quelques heures, je ne voyais personne des gens qui m’entouraient, mais seulement mes amis d’autrefois qui m’accueillaient avec leurs mains franches et leurs sourires. A la fin de la causerie, les auditeurs intéressés me dirent : - Pourquoi n’écrirais-tu pas ce que tu viens de nous raconter ?