De trop de larmes, mon cœur a cédé
de Emile Pattus
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À propos du livre
Romain a 9 ans, Mathilde en a 7. Ils vivent paisiblement dans un petit village du sud algérien et ils s'aiment comme peuvent s'aimer des enfants de leur âge.
La guerre les séparera, mais le hasard les réunira sur le continent plusieurs années après, lors d'une exposition photographique. Ils partageront une passion dévorante et scelleront leur amour sur les accents du concerto numéro 2 de Sergueï Rachmaninov. Le destin brisera leur rêve à tout jamais. Romain se lance alors un défi, jouer la musique du compositeur russe en public pour apaiser sa souffrance et retrouver Mathilde dans le tourment des trois mouvements du concerto. Arrivera-t-il à concrétiser son projet ? Une interrogation sur la volonté à vouloir dépasser ses propres limites ou tout simplement un hymne à l'amour.
La guerre les séparera, mais le hasard les réunira sur le continent plusieurs années après, lors d'une exposition photographique. Ils partageront une passion dévorante et scelleront leur amour sur les accents du concerto numéro 2 de Sergueï Rachmaninov. Le destin brisera leur rêve à tout jamais. Romain se lance alors un défi, jouer la musique du compositeur russe en public pour apaiser sa souffrance et retrouver Mathilde dans le tourment des trois mouvements du concerto. Arrivera-t-il à concrétiser son projet ? Une interrogation sur la volonté à vouloir dépasser ses propres limites ou tout simplement un hymne à l'amour.
Site Web de l'auteur
Caractéristiques et détails
- Catégorie principale: Littérature sentimentale
-
Format choisi: 13×20 cm
# de pages: 256 -
ISBN
- Couverture souple: 9781715463403
- Date de publication: sept 08, 2020
- Langue French
- Mots-clés rachmaninov, photographie humaniste, salle pleyel
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À propos du créateur
Emile Pattus
Chécy - 45430 - Loiret - Région Centre (France)
Photographe et amoureux des mots, une dualité qui me permet de voyager dans un monde d’images et de poésie où la femme tient la place essentielle. Membre du club ACAPI (Ville d'Ingré près d'Orléans) et affilié à la FPF (Fédération Photographique de France), une grande partie de mon travail se situe dans la photographie dite « plasticienne », à travers des images qui ne sont plus une simple reproduction du réel, comparées à la représentation figurative de celles que l'on qualifie de « pures ».