Saint Gervais sur Couches jusqu'en 1789
2e édition
de Louis Ligeron
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À propos du livre
Avec son condisciple de l’École normale de Mâcon, Pierre de Saint-Jacob, Louis Ligeron s’inscrit dans un courant des sciences historiques initié par Lucien Febvre et Marc Bloch, poursuivi plus tard par Fernand Braudel. Il s’agit d’une nouvelle approche de l’histoire, à la fois politique, économique, sociale, ethnologique, géographique.
Louis Ligeron a dépouillé une somme considérable d’archives (Archives départementales de Côte-d’Or et de Saône-et-Loire) du XIVe siècle au XVIIIe siècle. Il compare, recoupe les informations, émet des hypothèses, vérifie, pour en tirer, à la manière d’un distillateur, la quintessence. Dans un style clair mais dépouillé, l’auteur organise le résultat de sa recherche en trois volets : Le terroir (présentation du pays) - Les forces collectives (l’organisation de la société rurale) - La vie individuelle.
Louis Ligeron fait revivre en 400 pages quatre siècles de la société rurale qui compose alors Saint-Gervais-sur-Couches et ses hameaux. Ce qu’il faut retenir, et qui fait que ce livre porte en lui une valeur qui dépasse largement les limites de Saint-Gervais, c’est que la société qui est décrite, n’est pas seulement celle de ce village, mais celle de toutes les communautés rurales de la région.
Louis Ligeron a dépouillé une somme considérable d’archives (Archives départementales de Côte-d’Or et de Saône-et-Loire) du XIVe siècle au XVIIIe siècle. Il compare, recoupe les informations, émet des hypothèses, vérifie, pour en tirer, à la manière d’un distillateur, la quintessence. Dans un style clair mais dépouillé, l’auteur organise le résultat de sa recherche en trois volets : Le terroir (présentation du pays) - Les forces collectives (l’organisation de la société rurale) - La vie individuelle.
Louis Ligeron fait revivre en 400 pages quatre siècles de la société rurale qui compose alors Saint-Gervais-sur-Couches et ses hameaux. Ce qu’il faut retenir, et qui fait que ce livre porte en lui une valeur qui dépasse largement les limites de Saint-Gervais, c’est que la société qui est décrite, n’est pas seulement celle de ce village, mais celle de toutes les communautés rurales de la région.
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